Visite royale au Centre ESA de Redu
Le 17 mars prochain Sa Majesté le Roi visitera le Centre ESA de Redu. Après avoir été accueilli par le Directeur Général de l'ESA Jean-Jacques Dordain, la Secrétaire d'Etat Elke Sleurs et les autorités locales, le Roi assistera à une présentation des activités du Centre suivi d’une visite explicative des différentes installations et systèmes qui y sont opérés.
Il aura ainsi accès aux infrastructures qui permettent de tester, après leur lancement, les satellites du système de navigation Galileo. Le Roi pourra également se rendre dans le centre de contrôle des satellites PROBA, produits de l’industrie belge, qui desservent depuis Redu les scientifiques avec des données d’observation de la terre et du soleil. Enfin, dans le cadre du programme « Education » de l’ESA, le Roi pourra assister à une séance de formation de professeurs de l’enseignement secondaire de différents pays européens dans le laboratoire de robotique installé à cet effet à Redu.
A l'issue de la visite, Monsieur Jean-Jacques Dordain sera décoré des insignes de Grand Officier de l'Ordre de la Couronne pour son engagement continu dans le soutien de l’intérêt et la promotion des activités spatiales en Europe en sa qualité de Directeur général de l’ESA.
Uniquement sur invitation, ainsi que pour la presse
En pratique
12h45 Arrivée de la presse
13h00 Briefing presse
14h00 Arrivée de SM le Roi et présentation de Redu
14h10 Présentation de l’ESA Redu
14h30 Visite des infrastructure Galileo et PROBA
15h25 Visite du laboratoire de robotique
16h00 Réception
16h30 Press point
18h00 Fin de l’événement
Contact presse - Inscription
Accréditation obligatoire au plus tard le 13/03/2015 via :
PAS D’ACCES SANS CARTE DE PRESSE
Pour infos complementaires
Anna Jacobs
Agence Spatiale Européenne, ESA
Chargé de Communication
Bureau de la Belgique et des Pays-Bas
Tel : +31 (0) 71 565 5445, M : +31 (0)6 52345872
Email : anna.jacobs@esa.int
Infos pratiques
Adresse du jour :
Centre ESA de Redu
Rue de Daverdisse 1
B-6890 Redu
Coordonnées GPS : 50,001°N & 5,145°E
PARKING : sur le site de l’ESA
ESA Redu
Le Centre ESA de Redu, dans l’Ardenne belge, abrite les infrastructures de contrôle de satellites et des tests en orbite des satellites de télécommunications et de navigation. Il accueille également le centre de récolte des données utilisées dans le cadre de la recherche en météo spatiale.
Dans le cadre du développement futur des activités du Centre, une place a également été réservée à l’Education en créant un laboratoire destiné à la formation des professeurs de l’enseignement supérieur et des universitaires intéressés par le spatial en Europe.
Le site héberge environ 50 antennes dont la plus imposante est celle de 20 m desservant le programme GALILEO.
Grâce à de récents investissements et à l’agrandissement du site, le Centre ESA de Redu est d'ores et déjà prêt pour de futures missions opérationnelles. Il est par ailleurs, capable aujourd’hui d'accueillir et d'opérer des projets requérant des exigences de sécurité accrues.
A proximité du Centre ESA de Redu, le "Business Incubation Centre" (BIC) de l'ESA a vu le jour en 2012. Il se situe, au sein du parc d'activités économiques Galaxia à Transinne-Libin, et joue le rôle d'incubateur d'entreprises exerçant dans le secteur spatial.
L’Agence spatiale européenne (ESA)
L’ESA compte vingt États membres : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, la Finlande, la France, la Grèce, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République tchèque, la Roumanie, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse. Dix-huit d’entre eux sont également membres de l’Union européenne (UE). La Hongrie et l’Estonie, membres de l’UE, viennent d’adhérer à la Convention de l’ESA et seront bientôt États membres.
Six États membres de l’UE ont signé des accords de coopération avec l’ESA. Le Canada participe aussi à certains programmes de l’ESA au titre d’un accord de coopération.
L’ESA coopère également avec l’UE à la mise en œuvre des programmes Galileo et Copernicus.
En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, l’ESA peut entreprendre des programmes et des activités qui vont bien au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel.